critiche
Muse Baroque, Vivaldi, 2006
… Dès le Largo de la Sonate en do Majeur – qui ouvre le disque – l’atmosphère se fait limpide et apaisante ; le son perlé et continu du théorbe d’Evangelina Mascardi nous projette au creux d’une gondole glissant sur la lagune par un beau matin de printemps, alors que le soleil hésite encore à offrir toute sa chaleur, comme par timidité. Il prend le temps de déployer chacun de ses rayons pleinement, petit à petit, après le long sommeil hivernal ; ainsi font les musiciens qui dessinent chaque note avec une infime délicatesse, sans rien brusquer, laissant les timbres se mêler intimement, les dissonances s’épanouir. L’on sent le murmure du soleil, le clapotis des vaguelettes.
Isaure d'Audeville
Muse Baroque. Le magazin de la musique ancienne et baroque, 2009
Folle Journée de Nantes, 2006
… dans le rabâché concerto pour luth, la remarquable Evangelina Mascardi, qui emmena le public très loin dans ses rêves poétiques …
Folle Journée de Nantes, 28 février 2006
abeilleinfo.com
Diapason Découverte, 2005
… En plus qu’une redoutable technicienne, on découvre ici une véritable interprète. Aux prises avec ces deux monstres du répertoire, Evangelina Mascardi joue d’assurance et de précision, y compris dans le genre de la transcription(ses Bach affichent une très belle tenue) … Elle parvient à tirer de son luth une sonorité suave, d’une rare profondeur, troublante comme une caresse.
Manuel Boissard
Diapason Découverte
Diapason, avril 2005, p. 106
Diapason, 2005
…. c’est le moment de découvrir Evangelina Mascardi …. cette Argentine, c’est quelqu’un!
Hopkinson Smith
Diapason, avril 2005, p. 17